Foglia, alleluia !
Avez-vous lu la chronique de Pierre Foglia, ce matin ? Vous aurez peine à vous imaginer la satisfation, le sentiment de légèreté et de liberté qui m'a envahie lorsqu'une amie m'a parlé de l'article, que je me suis précipitée pour le lire.
Dans cette chronique, il est question d'un roman de peu (de très peu ? d'aucune?) valeur littéraire qu'une enseignante d'un collège privé de Montréal fait lire à ses élèves. Vous ne savez pas combien voir cette prise de position de Foglia, homme dont j'adore la prose et respecte énormément les idées, met fin à une lutte que je croyais mener seule. Combien je n'ai plus l'impression de me battre contre des moulins à vent. Après tout, si Foglia trouve lui-même le roman nul, je ne dois pas tellement être dans le champ si je trouve ça nul moi aussi.
Merci Pierre Foglia, de dire à des centaines de milliers de lecteurs comment je me sens. Je vous aime et admire encore plus.